Le Conseil d'appel Volley Vlaanderen, qui examine l'appel de l'ancien entraîneur national Gert Vande Broek concernant le comportement psychologique transfrontalier en volley-ball, a décidé aujourd'hui que la plainte précédente du parquet fédéral contre Gert Vande Broek n'était pas fondée et qu'il n'y avait pas lieu d'imposer une sanction disciplinaire.

Chez Volley Vlaanderen, nous respectons évidemment la décision du Conseil d'appel. Nous comprenons que ce type de dossier a un impact important sur toutes les parties concernées. Cependant, Un retour de Gert Vande Broek à la fédération n'est cependant pas à l'ordre du jour.

Notre priorité chez Volley Vlaanderen reste inchangée : continuer à travailler sur un climat de volley-ball sûr pour tous nos athlètes et encadrants sportifs. À cette fin, nous avons déjà pris plusieurs mesures récemment :

• Nous avons mis en place des points de contact confidentiels (API), tant au niveau de notre fédération que dans nos clubs, où les sportifs peuvent s’adresser avec des questions ou des plaintes concernant des comportements transgressifs. Ces points de contact reçoivent régulièrement des formations et des sensibilisations nécessaires.
• Nous avons élaboré des codes de conduite éthiques pour les athlètes, les encadrants sportifs et les dirigeants.

Le nouveau conseil d'administration est convaincu de l'importance cruciale d'un climat sportif sûr et intègre, et a renforcé son organe consultatif éthique avec des experts externes.

« Sur le plan sportif, nous sommes ambitieux, mais nous restons attentifs à la santé mentale et physique de nos athlètes et de nos encadrants. C'est notre engagement, et en tant que fédération, nous continuerons à y investir fortement à l'avenir », conclut Filip Buijs, directeur général de Volley Vlaanderen.